mardi 7 novembre 2017

Appel à Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République




Accusé de réception : reçu du 02 octobre 2017 du Palais de  l'Elysée



Le 27 septembre 2017,
J’ai sollicité l’intervention de M. Emmanuel Macron

Le même jour, j’ai lancé le même appel à
Monsieur Edouard Philippe, Premier Ministre
Madame Nicole Belloubet, Garde des sceaux, Ministre de la justice
Monsieur Gérard Collomb, Ministre de l’intérieur

J’ai également saisi nos parlementaires fraîchement élues
Madame Huguette Tiegna, députée de la 2e circonscription du Lot, élue LRM
Madame Angèle Préville,  Sénatrice du Lot, élue PS.

Rappel des faits : juste pour permettre ma spoliation d’un organisme de formation que j’avais créé et financé, un magistrat a pris à mon égard une décision dont le caractère raciste est clairement établi.

Dans cette situation, de bout en bout,  le droit est violé par ceux-là mêmes qui sont censés,l’appliquer avec  une exigence républicaine.

Jamais mes accusations n’ont été mises en doute par les différentes institutions. Cependant  la hiérarchie observe un lourd silence.

Ce sont mes adversaires qui disent le droit en le foulant aux pieds. Découvrez mes précédentes pages ! Et quand nous apprenons la disparition de 200 000 € des comptes de l’organisme de formation, c’est la gendarmerie qui exerce sur ma personne des pressions pour que je considère la plainte déposée comme ayant fait l’objet d’un classement sans suite. Or il n’en est rien.  L’Iggn couvre ses services en inventant une pièce…

Où sont passés les 200 000 € ?

Le Ministre de l’Intérieur ne dit rien… Tout comme la Ministre de la justice et pourtant un magistrat à commis une faute tellement grave qu’elle doit être unique dans les annales de la justice de la république : une décision discriminatoire dont le caractère raciste  est prouvé.

Je ne cherche pas à nuire à la République, je ne cherche pas à nuire à un gouvernement  et encore moins à des élus…mais je demande seulement  à être indemnisé car j’ai été spolié avec la complicité des services de l’Etat. 

Peut-on se sentir non concerné par une justice raciste ?


Lettres sus-visées seront publiées dans les prochains jours .

mardi 26 septembre 2017

Lydia Guirous, une femme politique...!



Lydia Guirous, femme politique…C'est ainsi qu'elle est présentée un peu partout. Elle a déjà tout écrasé…et gagné un titre reconnu  : islamophobe !

Le 8 avril 2017, Thierry Ardisson  recevait dans son émission : Salut les terriens !  Sonia Mabrouk, journaliste à Europe 1, Lcp-Public Sénat, Cnews….et j’en oublie, sans doute,  Mohammad Marwan, Directeur exécutif du Ccif, le collectif contre l’islamophobie en France …J’ai consacré deux pages aux deux premiers  et voici le tour de Lydia Guirous …

Sonia Mabrouk :

Mohammad Marwan

Ces trois personnalités ont pour point commun une origine  nord-africaine, tunisienne pour la première, égyptienne pour le deuxième et algérienne pour Lydia Guirous…Pour le reste, tout les oppose. Ce constat devrait surtout nous inciter à nous méfier des généralisations hâtives : l’arabe-type, le maghrébin- type ou l’africain-type comme le français-type n’existe pas
.
Sonia Mabrouk veut passer pour la française pur beurre…et  cette posture plaît aux auditeurs et téléspectateurs. Elle est quasiment neutre quand il s’agit de traiter un sujet en lien avec le Maghreb ou la Palestine. Hier,  dimanche 24 septembre,  J’étais surpris qu’elle demeurât sans voix devant une journaliste, à priori pro-israélienne qui évoquait un crime antisémite ( que je condamne sans hésitation aucune ) mais en généralisant  ses conclusions et  en récusant les diagnostics relatifs à la santé mentale de certains auteurs d’attentats, pourtant produits par d’éminents experts de la République. Même la Tunisie, son pays natal, n’est que rarement présente dans ses propos. Ce sont ses compagnons des Grandes voix d’Europe 1, qui s’en chargent …bien souvent maladroitement tant ils ne maîtrisent pas leur sujet. Je n’ai jamais entendu de réaction, bonne ou mauvaise, de Sonia Mabrouk…Elle est ainsi !

M. Mohammad Marwan, fait peur à tous alors qu’il est totalement inoffensif. En raison d’un titre aussi renflant que le sien, un membre de son staff a été exclu du mouvement En Marche qui estime qu’une telle appartenance n’était pas compatible avec les valeurs du futur nouveau Parti ! C’est excessif  et contraire à l’esprit Macron. M. Mohammad Marwan prétend défendre l’islam et donc lutter contre l’islamophobie. Il n’en est rien. J’avais pris contact avec lui et je n’eus pour réponse que l’expression de son mépris …C'est cela un musulman ?

Lydia Guirous est arrivés en France à l’âge de 5 ou 6 ans avec un bagage culturel français, selon ses déclarations, limité. Cependant, elle a mené un parcours universitaire des plus honorables : un master en sciences économiques et financières ! Son parcours politique est  à peine croyable : à 30 ans elle devient porte- parole des républicains, un parti que tenait de mains de maître un certain Nicolas Sarkozy ! C’est un exploit, il faut le reconnaître et lui tirer le chapeau ! Cependant Mme Lydia Guirous, n’avait jusque–là montré aucune compétence particulière. Partout où elle passait, elle se faisait ridiculiser tant elle était à côté de ses sujets. Regardez-ici à l’occasion d’une conférence de presse le 10 janvier 2016 ...



ou à l'émission "on n'est pas couché" du 9 janvier 2016.




Pour elle,  les jours passent et se ressemblent !

Ainsi sous vos yeux s’exprime le monde de Mickey qui se fera balayer moins de 2 ans plus tard. Mme Lydia Guirous, venait de publier (En 2014)  un livre qu’elle intitulait « Allah est grand, la République aussi ». Les décideurs de la droite le considérèrent comme un prix Nobel et lui ouvrirent les portes du merveilleux monde de la politique. La République était certes grande mais aujourd’hui,  elle ne l’est plus, à force d’entendre les inepties que profèrent Mme Lydia Guirous et ses admirateurs. Le ridicule ne tue pas  et c’est pourquoi  Mme Lydia Guirous comme les dirigeants de l’ex Ump, s’en étaient gavés. Ces derniers connaissaient ses limites et n’auraient jamais dû l’envoyer dans l’arène d’un monde si cruel.
Aujourd’hui, Mme Lydia Guirous tire à boulets rouges sur tout ce qui lui ressemble. Un chèche, une gandoura, une djellaba lui inspirent  l’horreur alors que dans sa propre famille, on doit bien en porter notamment par les proches  qui sont toujours au bled. Pour elle, les envahisseurs sont ici, partout, elle a déjà oublié d’où elle vient. On ne peut être utile à la  République que quand on est bien dans ses baskets,  apparemment celles de Madame Lydia Guirous sont tapissés de peaux de figues de barbarie.

La République est grande, c’est vrai, avec ses millions d’exclus, ses millions de chômeurs, ses millions d’illettrés, ses millions de pauvres, ses millions d’injustices et sa justice raciste. Ne pas être capable de le voir et de le dire,  avilie les louanges que vous pourriez faire à son endroit.

C’était le plateau de Thierry Ardisson, le maître des montages des meilleurs spectacles de marionnettes.  Sonia Mabrouk joignant le geste à la parole, exprima sa détestation à Lydia Guirous qui lui quémandait un peu d’amour en lui lançant de petits bisous en gage d’une possible alliance. Et toutes les deux se chiffonnent pour le titre de meilleure française oubliant que la République est suffisamment grande pour pouvoir accueillir en son sein des saints et des salauds.


Toutes les deux sont cependant d’accord pour pointer du doigt M. Mohammad Marwan qui prétend lutter contre l’islamophobie en exhibant des images ou des témoignages certes répréhensibles mais qui, en aucun cas,  ne peuvent représenter le grand chantier de la lutte contre les discriminations. M. Mohammad Marwan et ses amis n’ont pas le courage de dénoncer les actes graves d’islamophobie, comme le racisme d’un magistrat...Je m'en souviens encore, M. Mohammad Marwan, vous avez été bien malmené par ses deux femmes  !
  

lundi 22 mai 2017

Monsieur Mathias Fekl, a été ministre de l'intérieur


Monsieur Mathias Fekl a été installé en qualité de Ministre de l'intérieur le 27 mars 2017...
 Il est parti depuis une semaine, avec le changement de gouvernement ... 
Il ne m'a pas répondu mais il continuera de parler de valeurs de la République, de fraternité et de je ne sais quoi encore ...de beaux discours , quoi ? Il était la hiérarchie de la gendarmerie et savoir que celle-ci viole la loi ne semblait pas lui avoir posé le moindre problème de conscience...
Alors Monsieur Fekl ! Vous n' avez pas entendu parler d'un certain Emile Zola...
lui avait le sens de l'engagement républicain.


M. Rabah Bouguerra
21 avenue Julien Bailly
46100 Figeac

Tél. 0565347192 ou 0679652322

Figeac,  le 11 avril 2017.


Monsieur Mathias Fekl
Ministre de l’intérieur
 Place Beauvau
75008 Paris.


Objet : je sollicite votre intervention.

Références :
Ma lettre du 24 juin 2016. (Lrar)
                        Ma lettre du 10 août 2016.
                        Ma lettre du 10 septembre 2016
Ma lettre du 27 octobre 2017.
Ma lettre du 27 février 2017.




Monsieur Le Ministre,
Vos prédécesseurs n’ont pas jugé nécessaire de me répondre malgré la gravité des accusations que je porte contre les institutions de la République.

-         Un magistrat a pris à mon égard une décision discriminatoire à caractère. Naturellement les preuves sont là.

Monsieur le Ministre, je n’ai commis ni crime, ni délit mais cette horrible décision a permis ma spoliation !

-         Ceux qui m’ont spolié ont détourné 200 000 €. Il ne se passe rien malgré la plainte et les enquêtes !

-         Pire encore, la Gendarmerie a exercé sur ma personne des pressions pour que je considère cette plainte comme ayant donné lieu à un classement sans suite alors qu’il n’en est rien



Monsieur le Ministre, je vous prie de découvrir l’état de ce dossier qui vous éclairera sur les maux qui secouent la République.

Seule la mort peut me conduire à renoncer à mes droits.

Je demeure à votre entière disposition.

Je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à l’expression de mon parfond respect.



Rabah Bouguerra


  


lundi 8 mai 2017

8 Mai 1945



Comme des millions de citoyens de ce monde, je suis la commémoration du 8 mai. Depuis les premières heures de la journée, les chaînes remuent les mémoires et rappellent à juste titre la victoire sur le nazisme ...Quand le chant des partisans fut entonné, j'eus la conviction qu'il aurait pu se déployer dans les gorges des défenseurs algériens de la liberté et de la dignité...

On appelle les mémoires en oubliant celle de Sétif, Fermatou Kherrata, Guelma ...

Ce jour-là de 1945,  20 000 algériens dit la presse mais à la vérité au moins le double, furent tirés comme des lapins, assassinés par le pouvoir colonial qui avait même armé les civils pour les besoins de la sinistre besogne ...



Ami, ton cœur est-il trop petit pour pour ne pas faire une petite place à ceux qui ont été assassinés en ton nom? N'oublie pas qu'ils se sont battus pour  libérer la France et qu'ils voulaient avec les français fêter la victoire... Sans eux, tu parlerais aujourd'hui la langue unique de ce monde l'allemand !

Alors, je te prie d'avoir une pensée pour l'Algérie et son martyr.

lundi 24 avril 2017

Marwan Muhammad, Directeur exécutif du Ccif (Collectif contre l'islamophobie en France)


Dans ma précédente publication, je réagissais à l’émission,  Salut les terriens,  du 8 avril  dernier qui avait réuni notamment Madame Sonia Mabrouk, journaliste franco-tunisienne…et Monsieur Marwan Muhammad, franco-égyptien, Directeur exécutif du collectif contre l’islamophobie en France … Dans une « Battle des idées » ou plutôt d’absence d’idées dont Thierry Ardisson maîtrise excellemment les ressorts de la mise à feu, Madame Sonia Mabrouk s’en prit au Directeur exécutif du Ccif, sans retenue aucune… Le clash fut rapporté par la plupart des médias, pour des galeries qui n’attendaient que la mise à mort.

Je fus moi-même pris à partie pour mon article par  des personnages qui se parent des valeurs de la république alors que la haine qui les habite ne connaît aucune censure pour s’exprimer … souvent sous le masque de l’anonymat ! Quel courage ! En retour, chacun en avait  pris pour son investissement. Beaucoup s’étaient retirés silencieusement …

Je disais précédemment que je serais heureux si le Collectif que dirige Monsieur Marwan Muhammad pouvait m’aider…  ne serait-ce qu’en prononçant un mot en ma faveur. Je rappelle que je n’ai commis ni crime ni délit …mais que j’ai été spolié avec la complicité des services de l’état et de la justice.

Outre les twits que j’ai adressés aux protagonistes de l’émission, je pris attache avec Monsieur Marwan Muhammad, à travers sa page  Facebook. Il a fallu plusieurs relances pour que la modératrice (On dirait un titre de Guy Des Cars)  me réplique sèchement : on ne répond pas à la minute me signifia–t-elle,  même si celle-ci a duré près d’une semaine. En outre, une modératrice sur un compte personnel, ça interpelle.

Je m’interroge encore à propos de l’attitude de Monsieur Marwan Muhammad qui affiche à mon égard un mépris qui rien à envier à celui de ceux qui se réjouissent de ma spoliation. Ne suis-je pas de son rang ? Est-il d’un statut trop élevé pour le mortel que je suis ?

Monsieur Marwan Muhammad dirige un collectif contre l’islamophobie. Du moins c’est ainsi qu’il est publiquement présenté et moi,  naïvement, je pensais qu’il se rangerait sans hésitation aucune du côté de l’opprimé. Non ! Pourquoi ? Il a peur ? De quoi ?  C’est vrai, j’’accuse publiquement un haut magistrat d’avoir pris à mon égard une décision raciste. Mais les preuves sont disponibles et elles sont accablantes. Et ce magistrat se tait… Probablement, ce journaliste de Lci ne voudra jamais l’évoquer ! Monsieur Marwan Muhammad a, sans doute, peur de s’attirer plus d’ennuis encore en me manifestant sa solidarité.





Finalement, on ne relate que les clashs ! Monsieur Valls contre le salafisme ? Monsieur Valls lui-même avait qualifié certains territoires de ghettos, soulignant ainsi des politiques inadaptées. Alors, on s'étonne ? Vous remarquerez que le journaliste de Lci n'a aucun argument sérieux à avancer...


Nul ne peut vous contester votre qualité de musulman, Monsieur Marwan Muhammad,  mais pensez-vous vraiment que votre attitude à mon égard soit conforme aux préceptes de l’islam ?

Alors même que vous ne menez aucune action illégale ou même répréhensible, j’observe un acharnement répugnant sur votre personne. A l’occasion du débat auquel vous avez participé sur Lci, le journaliste vous reproche d’avoir  partagé des repas et ce faisant, rencontré des personnes peu « fréquentables ». Une telle affirmation ne peut que discréditer un professionnel de l’information…

J’ai beau chercher,  je ne trouve pas vos actions contre l’islamophobie alors que la fachosphère  réclame votre expulsion  (Oé la droite extrême ! on ne peut pas expulser un citoyen ! ) et la dissolution du Ccif (Sans aucun motif ? au pays des droits de l’homme ?)




 Sur Europe 1, Monsieur Marwan Mohamed défend ses idées... Et vous croyez que Monsieur Mohamed Sifaoui dira un mot en ma faveur ?

Monsieur Marwan Muhammad, je vous exprime ici ma solidarité  et vous ?

Madame Sonia Mabrouk vous a accusé de travailler pour votre crèmerie… Franchement, je suis près de lui donner raison. En effet,  sur votre page Facebook, on ne trouve que la promotion de votre livre : Nous (aussi) sommes la nation, Pourquoi il faut lutter contre l’islamophobie,  édition la découverte et vos participations à des conférences européennes dont je peux qu’imaginer les beaux discours … Je n’exonère pas pour autant Madame Sonia Mabrouk de la responsabilité qui est la sienne, celle d’un journaliste engagé.

Les musulmans ne demandent aucun privilège mais exigent que les lois de la république les protègent comme elles sont censées protéger tous les citoyens. Interrogez-vous ! Comment un magistrat peut-il prendre une décision raciste en toute impunité ? Et juste pour concrétiser la spoliation d’un citoyen.

Alors à quoi sert ce Ccif ?



mercredi 12 avril 2017

Sonia Mabrouk, journaliste

Salut les terriens !

Sonia Mabrouk, journaliste franco-tunisienne,  Europe 1 – Lcp-Public Sénat…Je veux dire qu’elle n’a pas besoin d’être présentée. Elle était l’autre soir, samedi 8 avril 2017 à 19h  l’invitée de « Salut les terriens » de Thierry Ardisson sur C8.

Et Thierry Ardisson ne fait pas les choses à moitié : il avait réuni, en outre,  autour de son bureau :

-   -   Lydia Guirous qui se présente comme essayiste mais je n’ai pas entendu franco-algérienne. Elle a été porte-parole de l’Ump puis des Républicains.

-   -    Marwan Muhammad, ingénieur statisticien, militant associatif franco-égyptien et actuellement directeur  exécutif du Collectif contre l’islamophobie en France (Ccif).

 En somme, toute la Méditerranée réunie dans un studio !

Près d’une semaine après cette émission, la fièvre du samedi soir n’est toujours pas tombée ! Journaux, télés, commentateurs connus ou inconnus, florilèges de pseudonymes saluent la performance de Madame Sonia Mabrouk. « Elle a cloué le bec à Marwan Muhammad » pouvait-on lire ici ou là. Bravo  Madame  ! l’Islam des lumières dont vous vous revendiquez, a pris sérieux coup.

L’islamophobie n’est pas une fiction.

Vous reprochez à M. Marwan Muhammad de défendre les musulmans victimes d’actes d’islamophobie, en réalité il y a un cumul de discrimination et de racisme qui pèse plus encore sur ceux qu’on identifie, à tort où à raison, comme musulmans.

Et vous rajoutez : « Pour réussir, les musulmans n’ont pas besoin de vous. Comme moi et beaucoup d’autres…ils savent ce qu’il faut faire. Comme vous ? Dites-vous …en oubliant M. Jean-Pierre El Kabache. Bien sûr, vous n’avez réussi que grâce à vos talents … et au petit coup de pouce sans lequel, vous seriez toujours journaliste… à « Jeune Afrique » ou ailleurs !

Et vous y alliez avec les notions qu’on vous a inculquées, victimaire, victimisation,  que j’ai reçues en pleine gueule comme autant d’innommables insultes. Honte à vous !



Ce que nous apportons à la France.

J’ai sans doute beaucoup plus de titres universitaires que vous avec une expérience de niveau international et j’ai dû fuir mon  (beau) pays natal,  non pas pour moi mais pour sauver la vie mon épouse (Médecin spécialiste, parisienne de naissance que je préfère à française de souche). Avec quelques mois en plus et je l’aurais renvoyée à ses parents dans une boîte en sapin ! Vous n’ignorez sans doute pas la haine que les islamistes ont envers ceux qui essaient de soulager autrui. Et si l’auteur de soins ou d’actes de générosité est identifié comme chrétien, la mort est l’acte par lequel ils estiment préserver le monopole divin dont ils s’estiment être les uniques dépositaires. A propos d’identification, pour eux, Pierre et Paul sont forcément chrétiens comme ici, Rachid et Rabah sont évidemment musulmans.

A peine de retour en France, en 1992,  j’ai monté et financé un organisme de formation appelé ADC (association pour le développement des compétences). Je ne voulais même pas m’inscrire comme demandeur d’emploi. En 2 ou 3 ans, il était devenu le centre universitaire le plus petit au monde, comme je me plaisais à le présenter : Diplôme de l’éducation nationale, diplômes de l’Université de Cambridge, Diplôme d’accès aux études universitaires (Daeu)… Avec mon équipe, j’apportais aux citoyens, essentiellement un public en voie d’insertion, diplômes, emplois, dignité et fierté de réussir un projet ambitieux…

Voilà ce que j’ai apporté à la France : un bilan colossal…

Une justice raciste.

Mais voilà, un jour un individu décida de s’emparer  de l’organisme de formation et il y parvint avec la complicité des services de l’Etat et de la justice… Cela s’appelle une spoliation, digne des pages sombres de l’histoire de France. Et pour la concrétiser un magistrat, Madame Françoise Martres, (Saisissez ce nom sur votre moteur de rechercher et vous allez vous régaler) a pris à mon égard une décision discriminatoire à caractère raciste. Si je l’affirme publiquement c’est les preuves sont là et elles sont accablantes…  Pour que ce dossier soit à nouveau examiné il faut que Madame Martres engage une procédure à mon encontre. Elle ne le fait pas et pour cause …


La question que vous vous posez est sans doute : qu’est devenu ADC ? Après avoir vidé ses comptes et dilapidé des fonds publics pour une hypothétique mesure de redressement, ADC a fait l’objet d’une mesure de liquidation judiciaire. Vous en aviez entendu parler ? Certainement pas. Cependant comme beaucoup de français vous avez sans doute été émus par la destruction de quelques écoles par des talibans dans le lointain Afghanistan.  

On a profité honteusement de ma situation « d’étranger » pour me dépouiller. Pas un responsable de ce pays, musulman, juif, chrétien, bouddhiste ou athée n’a levé le petit doigt pour moi. La France a eu Emile Zola …puis plus rien.

Sans justice, pas de démocratie.

C’est ce que disait Saint Augustin, ce berbère de chez nous. Mais vous, Madame Sonia Mabrouk, vous appelez l’injustice la victimisation, autrement dit vous nous invitez à nous taire. Je vous livre là le centième d’un livre qui vous raconte à chaque page les violations des lois de la république. Vous avez sans doute connu quelque chose de similaire sous Ben Ali mais ici c’est le pays des droits de l’homme … des valeurs dont vous parlez tous les jours.

Alors Madame Sonia Mabrouk, vous parlerez de moi ? Vous m’inviterez à une de vos émissions ? Je ne crois pas  que vous le feriez car malgré votre notoriété vous prenez un énorme risque à dire la vérité. Vous pouvez aussi parler de moi à Monsieur Jean –Pierre El Kabache c’est l’un des rares journalistes à qui je ne me suis pas adressé …

Voyez-vous,  si Marwan Muhammad que j’ai connu à l’occasion cette émission pouvait m’aider, j’en serais heureux…

Vous l’avez bien compris : je n’ai commis ni crime ni délit.




mardi 14 février 2017

La mise au point.


Voici la mise au point que j'ai adressée à la Gendarmerie. Il est question, entre autres,  d'une réponse que m'a envoyée l'Iggn (l'inspection générale de la Gendarmerie nationale), signée par un Général de corps d'armée... qui fait référence à un document qui n'existe pas !


Cette mise au point a été adressée aux plus hautes autorités de cette grande démocratie qui observent le même silence 

Mon colonel, vous devez m'en vouloir d'hurler ma douleur ? Alors que l'auteur de cette catastrophe républicaine , c'est Monsieur Exiga Jean-Claude... Lui doit savoir où sont passés les 200 000 €, des économies , le fruit d'un dur labeur ! 

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------



Rabah Bouguerra
21, avenue Julien Bailly
46100 Figeac

Tél. 0565347192 ou  0679652322
Figeac, le  20 octobre 2016.


Colonel Pascal Palayer
Groupement de gendarmerie du Lot
26 avenue Jean Lurçat
Bp 259
46005 Cahors Cedex


Objet : votre lettre du 07.10.2016
Référence : 37077  ggd46
Monsieur,
Je suis un peu surpris que Monsieur le ministère de l’intérieur, saisi par mes soins,  vous charge de  répondre à une requête par laquelle je mets en cause la gendarmerie. Cela signifie que dans cette grande démocratie, le citoyen lésé dans ces droits n’a aucun recours. J’en prends note et je poursuis mon combat pour la vérité et la justice.

Certes, j’affirme que l’action d’annonce du classement sans suite de ma plainte par l’enquêtrice,  est illégale mais aussi que cette qualification est reconnue par l’enquêtrice elle-même qui m’avait aussi déclaré qu’elle avait reçu l’ordre de le faire.

Votre réponse susvisée, occulte cette importante précision tout comme le courrier de l’Iggn  n° 383 du 3 février 2014. Une question reste posée : qui lui a donné l’ordre de le faire ?

Plus grave encore, à mes yeux, l’Iggn, pour justifier sa position,  cite la  décision du 10  juillet 2013, or cette décision n’existe pas.

Aujourd’hui encore, je m’interroge : comment un général d’armée a-t-il pu signer une telle correspondance ? Et mon interrogation est d’autant plus forte que mes appels n’eurent aucun écho.

Il existe une façon simple de me faire admettre cet état de fait, c’est de me remettre une copie de cette décision qui ne concerne que ma personne.

Je vous signale également qu’il y a erreur sur la date de dépôt de la plainte, elle est du 30 janvier et non du 30 décembre 2012.

A propos de cette décision de classement sans suite vous me renvoyez vers le parquet qui en son temps, m’avait délivré un document –dont vous disposez d’une copie - qui contredit la version de la gendarmerie. Pour le parquet, l’enquête était encore en cours. Et, à ce jour, aucune décision n’a été prise.

Sur ce point bien précis, vous trouverez dans mes échanges avec le groupement de gendarmerie tous les éléments qui vous permettent de mieux apprécier cette situation.

D’ailleurs, il aurait suffi que l’enquêtrice s’abstienne d’exercer des pressions sur ma personne et jamais ce différend avec la gendarmerie n’aurait existé.

Je me dois de vous préciser que je n’ai pas demandé d’enquête interne à la gendarmerie. Comme vous le dites avec courtoisie, les conclusions internes propres à une institution quelle qu’elle soit ne me regardent pas. J’ai saisi les différents niveaux hiérarchiques de la gendarmerie qui m’avaient donné parfois des réponses que je suis en droit de contester.                                                                  

1/5

Le constat est établi : la gendarmerie a bien manqué à son devoir d’impartialité.

Par contre, j’ai sollicité la mise en place d’une commission d’enquête car les faits sont graves et non reconnus. Une commission d’enquête est une initiative démocratique, 
citoyenne et qui plus est constitutionnelle. Elle peut-être parlementaire.  Ceci dit, à observer la façon dont ma requête est traitée, il ne se passera rien…


Dans ce lourd dossier, où l’injustice se mesure au nombre de violations du droit dont je suis victime, Madame Françoise Martres  (Je pense qu’il est inutile de vous la présenter) a pris à mon égard une  décision discriminatoire dont le caractère raciste est clairement établi. Il suffit de comparer les arrêts pris par ses soins : celui de mon ancien collaborateur, Eric Maynadier et le mien.

C’est tout simplement inouï : ce magistrat a, entre autre,  classé mon ancien collaborateur à un niveau hiérarchique supérieur au mien, moi qui étais son directeur, alors que rien,  absolument rien, ne permet de justifier une telle décision. A ma connaissance, cette situation n’a pas de précédent.

J’ai déposé plainte contre Madame Françoise Martres auprès du CSM (Conseil supérieur de la magistrature) qui me fit une réponse qui prêterait à rire si elle ne concernait pas un drame douloureux. Pour rejeter ma requête, le CSM affirme que je n’ai pas cité nommément le magistrat visé, ce qui est absolument faux.  A aucun moment,  le CSM n’a contesté mon accusation de racisme à l’encontre de ce magistrat, une accusation grave que couvre un lourd silence…

Si vous me confirmez qu’il est possible de déposer plainte auprès de vos services contre ce magistrat, je le ferai, sans hésitation aucune. Est-il besoin de vous préciser que cette accusation de racisme, je ne l’ai jamais portée contre les services de la gendarmerie.

Vous connaissez sans doute ce lourd dossier  et je saisis cette occasion, pour vous en retracer les principaux moments :

-          ADC (l’association pour le développement des compétences) l’organisme de formation  au cœur du litige,  est ma création en 1992 et son financement a été assuré par mes soins (Avec une participation égale de mon ancien collaborateur).  Ce fait n’a jamais été contesté par qui que se soit. En dernier ressort, je considère que j’ai été spolié …

-          Comme vous,  je servais la République, j’apportais à la population : diplômes, emplois, dignité et citoyenneté …D’ailleurs, les responsables de la brigade de gendarmerie de Saint-Céré pourront vous le confirmer. Je les invitais régulièrement à venir parler de leurs missions et souvent, ils dirigeaient vers mes services, les situations sociales délicates pour lesquelles une formation ou un accompagnement pourrait être bénéfique…

-          Qui est l’adversaire ? Il s’agit d’un certain M. Exiga Jean-Claude, éducateur de son état, agent territorial et ses deux complices : Mme Martignac Monique, modeste femme politique de l’ex Ump et M. Couchouron  Yves, professeur de collège à la retraite, adhérent  à la section locale du Ps. Après ces présentations je ne parlerai que de M. Exiga Jean-Claude…



Mes actions devant la justice… et les services de l’état.

-          M. Exiga a usé de moyens frauduleux pour me licencier de mon propre outil de travail, j’y reviendrai à propos des plaintes déposées contre lui.

-          La préfecture du Lot a mis plus de 3 ans pour me permettre l’accès au dossier alors que je suis une partie concernée tel que le définit la loi du 1er juillet 1901…et encore avec l’intervention de la CADA… C’est le temps qu’il a fallu à M. Exiga Jean-Claude pour vider les comptes du centre de formation ADC.                                                                                    

              2/5

-          Devant le Conseil de prud’hommes, M. Blanchon Gérard, un conseiller, un ami de mes adversaires…a siégé et délibéré comme si de rien n’était. Il m’a fallu des démarches, avant que le procureur général, ne me dise qu’il n’y a rien à faire !

-          Devant la cour d’appel, j’ai été renvoyé comme un malpropre et je ne pouvais rien dire…mais voilà que cette même cour d’appel prit, quelques mois plus tard, un arrêt au profit de mon ancien collaborateur…Celui-ci,  sur 2 points comparables, a bénéficié d’une classification et d’une indemnisation sans commune mesure avec la mienne…Imaginez qu’on décide un jour de classer un gendarme au dessus d’un officier supérieur ! L’analyse comparative des 2 arrêts montre clairement  que Mme Martres Françoise a pris à mon égard une décision discriminatoire dont le caractère raciste est clairement établi.

-          Mes actions auprès du CSM comme auprès de Mme La ministre de la justice (Qui pouvait légalement intervenir auprès du CSM) n’avaient pas abouti. Mme la ministre n’avait même pas répondu et le CSM me fit une réponse qui exprime à elle seule le grand drame de  la justice.

-          Devant la cour de cassation,  mon avocate, malgré ses engagements, n’avait pas remis  le moyen nouveau né de la comparaison des 2 arrêts et mon pourvoi fut rejeté. Mon avocate ne donne aucune explication.

-          J’ai engagé une action pour la mise en œuvre de la responsabilité civile de l’avocat (En principe une procédure banale pour tous les professionnels) auprès du conseil de l’ordre des avocats aux conseils. Tous les avocats, y compris celui commis  par la présidente de l’ordre me réclame des honoraires allant de 3600 à 3800 €, en se réservant le privilège de me « défendre » comme ils l’entendent… oubliant l’intérêt du client, au cœur du code de déontologie de la profession.

-          Aucun avocat, ne semble disposé à dire la vérité (Et pourtant, ils réclament des honoraires conséquents). La Présidente de l’ordre et le Premier Président de la cour de cassation sont saisis…

Les plaintes déposées contre M. Exiga Jean-Claude :

Dès la naissance du conflit, j’ai déposé 4 plaintes contre M. Exiga Jean-Claude.

   -  Plainte du 2 octobre 2008- Dénonçant la situation d’illégalité de M. Exiga au sein de l’association ADC. Résultat : classement sans suite, malgré les faits. M. Exiga était hors-la-loi.

-   Plainte du 22 décembre 2010 : usage d’un faux témoignage  - de la secrétaire -et diffamation. Résultat : classement sans suite.

    -      Plainte du 22 février 2011, usage d’un faux  et extorsion de témoignage. Résultat : classement  sans suite du 19 février 2014, soit plus de 3 ans plus tard ! Et les preuves sont indiscutables !
Cette décision est intervenue 9 mois après son annonce par la gendarmerie !!
L’extorsion de témoignage est clairement établie…et la gendarmerie ne semble n’avoir rien vu !

 -  Plainte du 30 janvier 2012 pour prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux, suite à la disparition de la somme de 200 000 €
A ce jour, aucune décision n’a été prise …et pourtant la gendarmerie m’a annoncé le classement sans suite !!

Tout semble indiquer que M. Exiga Jean-Claude est dessus des lois de la république. Il faut lire le deal qu’il met entre les mains de mon ancien collaborateur, pour comprendre le désastre.

Pire encore, M. Exiga avait menti en déclarant que la gendarmerie était intervenue à l’occasion du conflit….Naturellement le conseil de prud’hommes l’avait retenu à ma charge. Souvenez –vous, c’est son ami M. Blanchon Gérard qui menait les débats…La gendarmerie refusa de m’établir une attestation démentant le fait allégué et me renvoya vers le procureur qui, à son tour, me fit une réponse négative.                                                                    

3/5

Ainsi les deux institutions ont couvert des mensonges qui ont conduit à ma spoliation. Et vous voulez que les citoyens témoignent  de faits délictueux … alors que la gendarmerie s’abstient de dire la vérité ?                                                                                           
 Monsieur Exiga Jean-Claude …et l’institution judiciaire.

-          Fin 2011, alors que la cour d’appel d’Agen venait de le condamner lourdement pour le licenciement abusif mon ancien collaborateur, M. Maynadier Eric et violation du droit du travail, M. Exiga Jean-Claude qui avait déjà mis l’organisme de formation ADC en cessation de paiement, dépose le bilan. Ainsi l’indemnisation de mon ancien collaborateur, 130 000 € (environ) avec les charges, est supportée par le FNGS, en somme le contribuable. Ce qui est une sanction de la cour d’appel devient une prime à la casse !

-          Alors que de nombreuses entreprises dans une situation économique comparable et la sanction judiciaire en moins,  étaient directement mises en liquidation, M. Exiga Jean-Claude obtenait une mesure de redressement,  ce qui signifie qu’il n’aura plus à se préoccuper des créances. C’est une autre prime dont il vient de bénéficier…Ainsi, le TGI de Cahors  réduit à néant une juste sanction de la cour d’appel d’Agen !

-          Comment le TGI a-t-il pu lui accorder cette mesure ? Rien ne permet de faire un tel pari sur l’avenir  sauf à croire à un miracle. Non seulement M. Exiga Jean-Claude n’a pas les compétences pour diriger un établissement de formation, il n’a même pas le baccalauréat ! mais aussi,  il venait de contester la présence de 200 000 € sur les comptes de l’organisme de formation ADC ;

-          A partir de ce constat, je déposais plainte contre M. Exiga Jean-Claude et ses deux complices pour prise illégale d’intérêt et abus de biens sociaux. Où sont passés les 200 000 € ? C’est sur cette plainte que la gendarmerie vient m’annoncer le classement sans suite que le procureur de la République n’a toujours pas décidé.

-          Deux ans plus tard, en avril 2014,  la cessation de paiement devenait insupportable et le TGI prononçait la liquidation judiciaire.

-          Au même moment, M. Exiga Jean-Claude annonçait par voie de presse la nomination de Mme Louf en qualité de Directrice de l’établissement de formation ADC. Mme Louf venait tout juste d’obtenir l’équivalent du baccalauréat, le DAEU ! C’est comme si on vous annonçait qu’un élève terminale a été nommé proviseur ou qu’un jeune gendarme était nommé commandant d’un groupement ! Il a non seulement abusé la confiance du juge mais il l’a aussi humilié, publiquement. La France,  le pays des lumières, est bafouée.  Quelle impunité !

-          Vous avez été sans doute choqué, comme tous les français,  quand des talibans avaient détruit des écoles dans le lointain Afghanistan. Ici, Nul ne s’inquiète de cette catastrophe, pas un homme ou une femme politique n’a élevé la moindre protestation. Normal, ils sont amis avec les auteurs de cette tragédie.

-          ADC, c’étaient les diplômes de l’Université de Cambridge, ADC c’est le Diplôme d’accès aux études universitaires, ADC, c’était le conservatoire national des arts et métiers (CNAM), ADC c’étaient les actions d’orientation et d’insertion, ADC c’était l’accompagnement vers l’emploi…Tout ceci en milieu rural, aujourd’hui disparu comme pour punir une population à l’écart de tout. M. Exiga Jean-Claude n’est même pas capable d’en parler.

-          J’en conclus que c’est  M. Exiga Jean-Claude qui fait la justice…A quoi a servi cette mesure de redressement que rien ne justifiait ? Elle a coûté au bas mot un (1) million d’euros, voire le double…pour rien.

-          Si M. Exiga Jean-Claude avait réalisé ne serait-ce qu’un geste pour la mise en place de cet organisme de formation, on pourrait comprendre ses actes barbares, violant, sans retenue aucune,  les lois de la république. Finalement, M Exiga Jean-Claude réalise un véritable braquage sous le regard bienveillant de la justice. 


             4/5                                            


M. Exiga Jean-Claude bénéficie de privilèges que même le Président de la République n’a pas. Pourquoi ?

-          La république va mal et elle ne sera guérie que par l’application stricte des valeurs qui la fondent

-          Pas un mot ne peut être considéré comme diffamant, y compris la qualification de raciste concernant la décision de Mme Françoise Martres .Toutes mes accusations reposent sur des preuves irréfutables.

-          Si vous avez enquêté sur ma personne, vous aurez appris qu’au de-là des services que j’apportais à la population au nom de la république, j’œuvrais pour l’amélioration constante des relations entre la France et l’Algérie, mon pays natale…et ce faisant, mes messages de fraternité, prenaient du sens et créaient du lien.

-          Je subis l’intégrisme de l’ignorance, le terreau de l’intégrisme religieux aussi barbares que violents…  Il faut combattre l’un comme l’autre.

Je demande à toutes les autorités d’agir dans le respect des droits du citoyen que je suis. Je le répète, je n’ai commis ni crime ni délit et j’ai été spolié avec la complicité des services de l’état et de la justice. Je demande seulement à être indemnisé en m’appliquant les règles de droit, comme ce fut le cas de mon ancien collaborateur.

Je suis à votre entière disposition.

En attendant, je poursuis mon légitime combat de façon pacifique et démocratique… mais si vous voulez, malgré tout, me faire taire, il faut m’abattre.

Je vous prie de croire, Monsieur, à l’expression de ma sincère considération.



 



Rabah Bouguerra
                                              
  



Copies :

-   -   Monsieur Jean-Jacques Urvoas, Ministre de la justice.

-   -   Monsieur Bernard Cazeneuve, Ministre de l’intérieur.

-   -  Monsieur Le Général d’Armée
Directeur Général de la gendarmerie Nationale (Cabinet)

- -  Monsieur Le général commandant la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées, Commandant le groupement de gendarmerie de la Haute Garonne.            


  5/5
Powered By Blogger